Compétiteur de premier choix, l'entrepreneur breton entend bien profiter de son incursion sur la scène du championnat de France Supercar pour adopter cette même quête de la perfection qu'il s'emploie à atteindre au quotidien dans le cadre de ses activités professionnelles.
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Laurent Le Manac'h ne demeure peut-être qu'un simple rookie dans la discipline Rallycross, cela n'empêche pas le traiteur de Carhaix d'aborder avec le plus grand sérieux cette nouvelle aventure au volant de la Citroën DS3.
"Même si le niveau qui s'annonce cette année en Supercar promet d'être redoutable, j'ai plutôt tendance à ressentir un stress positif. À titre personnel, cette saison 2024 relève avant tout d'une campagne d'apprentissage. En réalité, je n'ai rien à perdre ou à gagner sinon d'essayer de prendre un maximum de plaisir au volant de la Citroën DS3," souligne Laurent.
Si ses objectifs seront mesurés pour cette première saison à ce niveau de la compétition, le pensionnaire du DA Racing n'a pas l'intention de laisser quoi que ce soit au hasard dans son apprentissage de la catégorie.
"Je relie mon métier à la discipline Rallycross. Dans ces deux domaines, la recette à appliquer est la même si on veut atteindre le maximum de son potentiel. Qu'il s'agisse de créer un cocktail pour 1000 personnes ou bien d'accéder à une demi-finale, il ne faut jamais se relâcher. Si on veut se maintenir au top niveau, il est totalement exclu de se reposer sur ses lauriers."
"C'est un travail de longue haleine qui impose de se remettre en question en permanence. Même si le Rallycross n'est qu'un loisir, je compte bien injecter le même sérieux dans mon approche que celui que je peux mettre en pratique au quotidien. Je viens me mesurer à ce qui se fait de mieux en France et je n'ai pas l'intention d'attendre que les week-ends se passent en restant les mains dans les poches. Je veux comprendre et apprendre. J'ai travaillé ma condition physique tout au long de l'hiver et si je parviens à me qualifier pour les demi-finales sur les quatre courses que j'ai sélectionnées, ce serait déjà une belle étape de franchie."
Humble, le pensionnaire du DA Racing est parfaitement conscient de la chance qui est la sienne.
"Je sais que je suis en train de vivre une aventure qui s'annonce extraordinaire. J'ai déjà pu y goûter l'an dernier avec la VW Polo de Nicolas Flon et l'expérience s'était avérée superbe au sein d'une équipe qui m'avait accueilli de manière formidable. Néanmoins, avec cette DS3 Supercar, je me suis lancé un sacré défi. C'est un rêve qui se réalise. M'engager dans la catégorie Supercar est le challenge le plus relevé que je pouvais me fixer. Même si je n'ai pas d'objectifs de résultats pour cette première saison, je veux toutefois prouver que je ne suis pas venu là par hasard."